En 1992, Luc Ferry fut l’un des premiers à fustiger les outrances antihumanistes des courants verts radicaux.
En 2021, le philosophe oppose à des décroissants de plus en plus écoutés un contre-projet radical.
La foi du Progrès chevillée au corps, l’ancien ministre de l’Éducation nationale
nous fait l’amitié d’analyser tous les courants écologistes, des « collapsologues » aux tenants de la « croissance verte » en passant par « l’écologie décoloniale » ou « l’éco-féminisme ».
Célébrant la troisième révolution industrielle, l’intelligence artificielle, l’innova-tion et la recherche, en opposition aux prophètes de malheur, il montre comment
il nous sera possible, grâce à « l’écomodernisme », de concilier croissance et préoccupations environnementales.