Dans un contexte de profonde remise en question de la relation au travail, la nouvelle génération, née entre 1997 et 2012, pose ses conditions en prenant de court beaucoup de managers.
Résultat, le recrutement d’une population qui représentera 30 % de la force active en 2030 s’avère beaucoup plus difficile et le « turn-over » n’a jamais été aussi coûteux pour les entreprises.
Comment réussir à recruter de nouveaux talents et à fidéliser les enfants du numérique, aux origines diversifiées, prônant la transparence, l’égalité des genres, le respect envers l’environnement et pouvant refuser des hauts salaires si les valeurs et le confort auxquels ils aspirent ne sont pas satisfaits ?
Être en phase avec les attentes de la génération Z devient donc crucial pour le marché du travail.