Fatigués de l’incapacité de l’État à décider dans les affaires importantes, les algériens semblent largement indifférents quant à l’issue de la future présidentielle.
Pourtant, l’Algérie ne peut courir le risque de l’aventurisme politique.
La situation politique actuelle rappelle la fin de l’époque soviétique. C’est toute une construction sociale, intellectuelle et un modèle économique qui sont tenus comme en apesanteur dans l’attente d’un renouveau démocratique.